PAGE SÈCHE et ENCRE SYMPATHIQUE

Balourd 10, que ne rebute pas l'emploi de l'encre sympathique, n'entretient pas pour autant la phobie de la page blanche. (Une encre sympathique devient invisible en séch

jeudi 20 mars 2014

NOUVEAU MESSAGE


Profonde superficialité

Je propose ici une liste d'un genre inusité : celle des livres achetés pour leur titre.

Elle ne compte que d'excellents livres, tous dignes de figurer parmi mes favoris.

Comme quoi, si on ne juge pas un livre d'après sa couverture, s'enfoncer d'un cran dans la superficialité (dans la mesure où l'on peut s'enfoncer dans la superficialité) en jugeant un ouvrage d'après son seul titre peut s'avérer, si l'on en juge d'après les résultats, une méthode étonnamment profitable. :

  • Ma vie amoureuse et criminelle avec Martin Heidegger (roman), Gerald Messadié, Éditions Robert Lafont, 1994. (Lu en 1996.)
  • The Origin of Consciousness in the Breakdown of the Bicameral Mind, Julian Jaynes, Houghton Mifflin Company (essai), 1976. (Lu en 2013, mais j'en avais vu des allusions dans d'autres textes.)
  • La Chine m'inquiète (pastiches littéraires), Jean-Louis Curtis, Grasset, 1972. (Lu vers 1976, acheté à nouveau en 2007.)
  • La haine de la musique (essai). Pascal Quignard, Calmann-Lévy, 1996. (Lu en 2007.)

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