Pompier bon œil
Le roman de Ray Bradbury, Fahrenheit 451, récolte régulièrement des commentaires favorables dans les sections culturelles des médias. Cette œuvre traite, entre autres choses, de la disparition des livres, tués notamment par la télévision. Or, ceux qui la portent aux nues citent toujours le film qu'on en a tiré, et jamais le livre qu'ils n'ont, de toute évidence, jamais lu. Se rendent-ils comptent qu'ils illustrent ce qu'ils prétendent déplorer ?
AJOUT 8 juillet 2012. – Voir aussi, même sujet, dans ce blogue :
«À tout seigneur...»
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