Je suis incapable de rédiger un énoncé sans qu'il ne se métamorphose et s'entortille de mille façons pendant que je le couche sur papier. De peine et de misère, j'ai réussi à réduire à deux versions la prolifération des nœuds de propositions où je m'empêtrais. À regret, je constate que je n'ai pas pu me passer de parenthèses (tronçons du charabia initial apportant une précision indispensable) :
Version 1
Puisque les mensonges viennent toujours d'une intention sincère (celle de cacher la vérité, of course), ne pourrait-on pas dire qu'ils en sont les révélateurs ? Ou ceux de la sincérité, ce qui n'est pas la même chose. (Mais on confond souvent.)
Version 2
Un mensonge vient toujours d’une intention sincère. Les mensonges sont les paravents de la vérité. Ce qui nous indique où aller la chercher. (Le mieux est de tacitement l'ignorer.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire