Un être humain normal est, sauf rarissimes exceptions, allergique à 75 % de la production culturelle de son temps. Autrement dit, 78 % (j'ai raffiné mon estimation) des livres, films, pièces de théâtre, etc., le laissent froid quand ils ne lui donnent pas carrément de l'urticaire.
S'il n'en tenait qu'à une seule personne prise au hasard, 82 % de la production contemporaine irait aux poubelles, pour motif d'indifférence ou d'insupportabilité caractérisée (données mises à jour).
(Parenthèse : il s'ensuit, me direz-vous, que 89 % de la population du globe décideraient de supprimer mon blogue de la toile si on offrait à tous l'opportunité de procéder à un tel ménage. Que non, mesdames, messieurs : mon blogue n'est pas un produit culturel. Il échappe donc à ces dévastatrices statistiques – que j'ai nettoyées d'une coquille en passant.)
S'il n'en tenait qu'à une seule personne prise au hasard, 82 % de la production contemporaine irait aux poubelles, pour motif d'indifférence ou d'insupportabilité caractérisée (données mises à jour).
(Parenthèse : il s'ensuit, me direz-vous, que 89 % de la population du globe décideraient de supprimer mon blogue de la toile si on offrait à tous l'opportunité de procéder à un tel ménage. Que non, mesdames, messieurs : mon blogue n'est pas un produit culturel. Il échappe donc à ces dévastatrices statistiques – que j'ai nettoyées d'une coquille en passant.)
L'important réside en ceci : la vie culturelle de la plupart d'entre nous, exception de quelques insensibles au cuir à l'épreuve de tout, se résume à un slalom sans fin entre les œuvres à éviter et à de risibles efforts pour échapper aux «incontournables» (soit, au total – révisé –, 98 % de la production).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire