Nous les gars, sommes des êtres sensibles, tout en délicatesse. Contrairement aux femmes, très «Bonjour, tagada-tout-de-suite», un peu brutales même, nous avons besoin de temps. Il nous faut humer l'atmosphère, laisser s'installer l'ambiance, savourer la confiance qui peu à peu s'installe, mesurer en nous la progression de l'abandon. Ces préliminaires accomplis, il nous arrive, mais uniquement à cette étape, une fois tous les rituels prescrits satisfaits, de nous laisser aller aux confidences.
Mais de quoi pensiez-vous que je parlais ?
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